10 août 2005
Les enfants de novembre
Long câlin ce matin quand il s'est levé. Je suis descendu le retrouver pour lui dire bonjour, comme tous les matins, et il est venu vers moi dans la cuisine. Nous nous sommes pris dans les bras l'un de l'autre, sans dire un mot. Que j'étais bien dans ses bras. Comme un besoin de le rassurer, de me rassurer. Se serrer fort, comme ça, simplement.
Est-ce lui ou ses bras que j'aime sentir contre moi ? Ai-je simplement besoin d'une présence et d'un corps à étreindre ou ai-je besoin de lui ?
Peut-être irons-nous passer quelques jours à Berlin en novembre, période où le travail se fait plus rare.
Ce serait bien, vraiment.
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